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Étudier la poésie
Le sonnet
Soleils couchants en poésie
niveau classe de 4e

Savoirs visés
• Définir la notion de poème, de poésie
• Connaître le vocabulaire spécifique de la poésie
• Repérer et utiliser certaines images poétiques
• Reconnaître une forme fixe : le sonnet
• Approfondir l’étude du vers, de la strophe, du rythme poétique
• Découvrir la poésie du XIXe siècle à travers un thème
Savoir-faire visés
• Apprécier et analyser une chanson
• Lire un poème de façon expressive en respectant la métrique
• Comparer plusieurs poèmes
• Utiliser avec précision le vocabulaire des sentiments
• Jouer avec les phrases, les sons, les rimes, les techniques
• Exprimer sa sensibilité, ses émotions, de façon personnelle
Sommaire du dossier
Faire le point : s'initier à la poésie par la chanson
Claude Nougaro, Toulouse
Alain Souchon, Foule sentimentale
Explorer les formes
• Les images : comparaisons et métaphores
Géo Norge, Un mariage
Benjamin Péret, Allô
• Une forme fixe : le sonnet
Marc-Antoine de Saint-Amant, Le Paresseux
• La poésie du XIXe siècle : couchers de soleil
Victor Hugo, Soleils couchants IV
Gérard de Nerval, Fantaisie
Charles Baudelaire, Harmonie du soir
Verlaine, Soleils couchants
Écrire
Jeux d’écriture à partir des proverbes
Écrire à la manière du haïku
Calligrammes
Synthèse
Pour expliquer un poème
Évaluation
À lire : bibliographie
Corrigés complets
Faire le point
Chanson 1
Claude Nougaro, Toulouse
Qu’il est loin mon pays, qu’il est loin
Parfois au fond de moi se raniment
L’eau verte du canal du Midi
Et la brique rouge des Minimes
O mon païs, ô Toulouse, ô Toulouse
Je reprends l’avenue vers l’école
Mon cartable est bourré de coups de poing
Ici, si tu cognes, tu gagnes
Ici, même les mémés aiment la castagne
O mon païs, ô Toulouse […]
Claude Nougaro
Chanson 2
Alain Souchon, Foule sentimentale
oh la la la vie en rose
le rose qu’on nous propose
d’avoir des quantités d’choses
qui donnent envie d’autre chose
aïe on nous fait croire
que le bonheur c’est d’avoir
de l’avoir plein nos armoires
dérisions de nous dérisoires car…
foule sentimentale
on a soif' d’idéal
attirée par les étoiles, les voiles
que des choses pas commerciales
foule sentimentale
il faut voir comme on nous parle
comme on nous parle
[…]
Foule sentimentale…
Alain Souchon, album Foule sentimentale, © BMG Music Publishing France.
Récapitulons
[…]
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Explorer
Les images : comparaisons et métaphores
Texte 1
Un mariage
Un garçon comme ça se rencontre rarement :
bon comme le pain, vif comme la poudre, fort
comme un Turc, doux comme un mouton. Et
une fille comme ça : belle comme le jour,
fraîche comme la rose, pure comme l’or se rencontre
rarement. Eh bien, ils se rencontrèrent.
Ils ont une fille laide comme un pou et une vie
bête comme chou.
Géo Norge, Un Mariage, in Poètes d’aujourd’hui, © Seghers.
Georges Mogin, dit Géo Norge (1898-1990)
Poète belge d’expression française. Il conjugue avec virtuosité l’invention verbale, la langue populaire, l’ironie et le lyrisme : L’Imposteur (1937), Râpes (1949), Les Oignons (1953), Le Vin profond (1968).
Texte 2

Allô
Mon avion en flammes mon château inondé de vin du Rhin
mon ghetto d’iris noir mon oreille de cristal
mon rocher dévalant la falaise pour écraser le garde champêtre
mon escargot d’opale1 mon moustique d’air
mon édredon de paradisiers2 ma chevelure d’écume3 noire
mon tombeau éclaté ma pluie de sauterelles rouges
mon île volante mon raisin de turquoise
ma collision d’autos folles et prudentes ma plate-bande sauvage
mon pistil de pissenlit projeté dans mon œil
mon oignon de tulipe dans le cerveau
ma gazelle égarée dans un cinéma des boulevards
ma cassette de soleil mon fruit de volcan
mon rire d’étang caché où vont se noyer les prophètes distraits
mon inondation de cassis mon papillon de morille
ma cascade bleue comme une lame de fond qui fait le printemps
mon revolver de corail dont la bouche m’attire comme l’œil d’un puits
scintillant
glacé comme le miroir où tu contemples la fuite des oiseaux mouches de ton regard
perdu dans une exposition de blanc encadrée de momies
je t’aime
Benjamin Péret, Œuvres complètes, © Le Terrain Vague.
1. Opale : n.f. Pierre fine à reflets changeants.
2. Paradisier : oiseau de Nouvelle-Guinée aux jolies couleurs, appelé aussi oiseau du paradis.
3. Écume : n.f. Mousse qui se forme à la surface des liquides agités.
Benjamin Péret (1899-1959)
Poète français, membre du groupe surréaliste : Le Passager du transatlantique (1921), Le Grand Jeu (1928), Je sublime (1936), Le Déshonneur des poètes (1945), Mort aux vaches et au champ d’honneur (1953).
[…]
2. Retrouvez les images de ce poème. Aidez-vous du rythme et des rimes.
En Arles
Dans Arles, où sont les Aliscans,
Quand l’ombre est (légère, rouge, lointaine), sous les roses,
Et clair le (volcan, sang, temps),
Prends garde à la douceur des (femmes, roses, choses),
Lorsque tu sens battre sans cause
Ton cœur trop (amoureux, lourd, franc) ;
Et que se taisent les (colonnes, bombes, colombes) :
Parle tout bas, si c’est d’amour,
Au bord des (champs, tombes, ombres).
Paul-Jean Toulet, Les Contrerimes, 1921, © Gallimard, coll. « Poésie », 1979.
3. Qu’évoquent pour vous les images de ces strophes (formes, couleurs, mouvements) ?
Je ne veux jamais l’oublier
Ma colombe ma blanche rade
Ô marguerite exfoliée
Mon île au loin ma Désirade
Ma rose mon giroflier […]
Près d’un château sans châtelaine
La barque aux barcarols1 chantants
Sur un lac blanc et sous l’haleine
Des vents qui tremblent au printemps
Voguait cygne mourant sirène
Guillaume Apollinaire, « La Chanson du mal-aimé », in Alcools, 1913,
© Gallimard, coll. « Poésie », 2001.
Retenons
Comparaison et métaphore
• Le texte poétique est particulièrement riche en images, qui peuvent cependant se rencontrer en dehors de la poésie (langage courant, chansons, publicité, histoires drôles…).
• La comparaison rapproche deux mots grâce à un mot de liaison (comme, pareil, semblable…). Les deux mots ont un point commun clairement exprimé, mais les deux réalités restent bien distinctes.
Exemple : Un garçon bon comme le pain
• La métaphore rapproche deux mots qui ont un point commun, mais le mot de liaison est effacé. Les deux termes, juxtaposés, échangent leurs significations qui s’enrichissent mutuellement ;
Exemples : Mon cœur est un palais flétri par la cohue. (Baudelaire)
Vous êtes un beau soir d’automne clair et rose. (Baudelaire)
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Une forme fixe : le sonnet
Le paresseux
Accablé de paresse et de mélancolie,
Je rêve dans un lit où je suis fagoté1
Comme un lièvre sans os qui dort dans un pâté,
Ou comme un Don Quichotte2 en sa morne folie.
Là, sans me soucier des guerres d’Italie3,
Du comte Palatin4, ni de sa royauté,
Je consacre un bel hymne à cette oisiveté
Où mon âme en langueur5 est comme ensevelie.
Je trouve ce plaisir si doux et si charmant,
Que je crois que les biens me viendront en dormant,
Puisque je vois déjà s’en enfler ma bedaine,
Et hais tant le travail que, les yeux entrouverts,
Une main hors des draps, cher Baudoin6, à peine
Ai-je pu me résoudre à t’écrire ces vers.
Saint-Amant.
1. Fagoté : ici, installé.
2. Don Quichotte : héros de Cervantès (l’Ingénieux Hidalgo don Quichotte de la Manche) ; type du redresseur de torts dont la généreuse naïveté est proche de la folie.
3. Guerres d’Italie : du XVe au XVIIe siècle, guerres pour la domination de l’Italie entre la France, les Suisses, les Espagnols, le Saint Empire Germanique, puis les Habsbourg.
4. Comte palatin : nommé par les empereurs allemands dans chaque duché de l’Empire, il représente l’autorité impériale.
5. Langueur : mélancolie douce et rêveuse.
6. Baudouin : prononcer en trois syllabes (diérèse).
Marc Antoine Girard, sieur de Saint-Amant (1594-1661).
Poète français (La Solitude, 1618) ; auteur de l’épopée biblique Moïse sauvé (1653) et de poèmes réalistes (Les Goinfres, Le Melon, etc.).
[…]
2. La première version du poème suivant était un sonnet classique (longueur des vers et disposition des strophes). Reconstituez-la.
Les Colchiques
Le pré est vénéneux mais joli en automne
Les vaches y paissant
Lentement s’empoisonnent
Le colchique couleur de cerne et de lilas
Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-là
Violâtres comme leur cerne et comme cet automne
Et ma vie pour tes yeux lentement s’empoisonne
Les enfants de l’école viennent avec fracas
Vêtus de hoquetons et jouant de l’harmonica
Ils cueillent les colchiques qui sont comme des mères
Filles de leurs filles et sont couleur de tes paupières
Qui battent comme les fleurs battent au vent dément
Le gardien du troupeau chante tout doucement
Tandis que lentes et meuglant] es vaches abandonnent
Pour toujours ce grand pré mal fleuri par l’automne
Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 © Gallimard, coll. « Poésie », 2001.
3. Retrouvez des structures de poème régulier dans ce poème (vers, rimes…). Le poème que vous avez reconstitué est-il un sonnet ?
Allégeance
Dans les rues de la ville il y a mon amour. Peu
importe où il va dans le temps divisé. Il n’est plus
mon amour, chacun peut lui parler. Il ne se souvient
plus ; qui au juste l’aima ?
Il cherche son pareil dans le vœu des regards.
L’espace qu’il parcourt est ma fidélité. Il dessine
l’espoir et léger l’éconduit. Il est prépondérant sans
qu’il y prenne part.
Je vis au fond de lui comme une épave heureuse.
À son insu, ma solitude est son trésor. Dans le grand
méridien où s’inscrit son essor, ma liberté le creuse.
Dans les rues de la ville il y a mon amour. Peu
importe où il va dans le temps divisé. Il n’est plus
mon amour, chacun peut lui parler. Il ne se souvient
plus ; qui au juste l’aima et l’éclaire de loin, pour qu’il
ne tombe pas ?
René Char, Fureur et mystère, 1948, © Gallimard, coll. « Poésie », 2001.
4. Le poème suivant est-il un sonnet ? Justifiez votre réponse.
Portrait d’un consommateur
Pour lui, être vivant, c’est d’abord consommer,
qu’on le désire ou non. Le cœur est un service,
et l’âme un emballage : il les vend, les achète
ou les troque parfois pour d’autres fournitures.
« Un ouvrier vaut cent fois moins qu’une machine »,
déclare-t-il en construisant un hôpital
où le peuple pourra guérir toute pensée
puisqu’elle constitue c’est un malheur fréquent
sa pire maladie. Battre la concurrence,
en assurant à chaque travailleur la joie
dans la sécurité, au besoin par la force,
n’est-ce pas méritoire ? Un cerveau bien réglé
rapporte plus d’argent qu’un stock de marchandises.
Il ouvre à sa conscience une ou deux succursales.
Alain Bosquet, Sonnets pour une fin de siècle, 1982, © Gallimard.
Retenons
Le sonnet
• Le sonnet est un poème de forme fixe qui vient d’Italie. Il fut introduit en France au XVe siècle. Deux poètes de la Renaissance, Ronsard et Du Bellay, l’illustrent au XVIe siècle. Baudelaire le renouvelle au XIXe siècle.
• Le sonnet est un poème de quatorze vers.
Il est composé de deux quatrains (4 vers) et de deux tercets (3 vers)
Ses vers sont plus souvent des alexandrins (12 syllabes).
Les rimes du sonnet obéissent à une disposition régulière : abba/abba/ccd/eed ou abba/abba/ccd/ede.
• Généralement, le dernier vers du sonnet résume l’impression d’ensemble ou crée un effet de surprise.
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Poésie du XIXe siècle : Soleils couchants

Le soleil s’est couché ce soir dans les nuées1.
Demain viendra l’orage, et le soir, et la nuit ;
Puis l’aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ;
Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s’enfuit !
Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule
Sur la face des mers, sur la face des monts,
Sur les fleuves d’argent, sur les forêts où roule
Comme un hymne confus des morts que nous aimons.
Et la face des eaux, et le front des montagnes,
Ridés et non vieillis, et les bois toujours verts
S’iront rajeunissant ; le fleuve des campagnes
Prendra sans cesse aux monts le flot qu’il donne aux mers.
Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tête,
Je passe, et, refroidi sous ce soleil joyeux,
Je m’en irai bientôt, au milieu de la fête,
Sans que rien manque au monde, immense et radieux !
Victor Hugo, Les Feuilles d’automne, 1831.
[…]

Fantaisie
Il est un air pour qui je donnerais
Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber1,
Un air très vieux, languissant et funèbre,
Qui pour moi seul a des charmes2 secrets !
Or, chaque fois que je viens à l’entendre,
De deux cents ans mon âme rajeunit…
C’est sous Louis3 Treize ; et je crois voir s’étendre
Un coteau vert, que le couchant jaunit,
Puis un château de brique à coins de pierre,
Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs,
Ceint de grands parcs, avec une rivière
Baignant ses pieds, qui coule entre des fleurs ;
Puis une dame, à sa haute fenêtre,
Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens,
Que, dans une autre existence peut-être,
J’ai déjà vue… et dont je me souviens !
Gérard de Nerval, Odelettes, 1832.
1. Karl-Maria von Weber : musicien allemand (1786-1826). On prononce « Wèbre », à l’allemande.
2. Charme : vient du latin carmen : chant magique, enchantement.
3. « Louis » se prononce en une seule syllabe (synérèse).
[…]
Harmonie du soir
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir1 ;
Les sons et les parfums tournent dans l’air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux2 vertige !
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir ;
Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir3.
Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige,
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige.
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige4 !
Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige…
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir5 !
Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857.
1. Encensoir : n.m. Récipient dans lequel on brûle l’encens.
2. Langoureux : qui manifeste une mélancolie sentimentale.
3. Reposoir : n.m. Support sur lequel on dépose le saint sacrement.
4. Vestige : n.m. Ce qui demeure d’une chose détruite, disparue.
5. Ostensoir : n. m. Pièce d’orfèvrerie destinée à exposer l’hostie.
[…]
Soleils Couchants
Une aube affaiblie
Verse par les champs
La mélancolie
Des soleils couchants.
La mélancolie
Berce de doux chants
Mon cœur qui s’oublie
Aux soleils couchants.
Et d’étranges rêves,
Comme des soleils
Couchants sur les grèves,
Fantômes vermeils,
Défilent sans trêves,
Défilent, pareils
À des grands soleils
Couchants sur les grèves
Verlaine, Poèmes saturniens, 1866.
Paul VERLAINE (1844-1896)
Poète français. Il publie ses premiers recueils (Poèmes saturniens, Fêtes galantes) à la fin des années 1860. Sa rencontre avec Rimbaud en 1871 conduit les deux jeunes gens dans un vagabondage tumultueux, et inspire à Verlaine le meilleur de son œuvre (Romances sans paroles, 1874). Mais l’alcool et la colère le poussent à tirer sur son compagnon, et c’est en prison qu’il écrit son recueil Sagesse (1881). Il meurt dans la misère en 1896.
[…]
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Écrire
Jeux d’écriture à partir des proverbes
[…]
Écrire à la manière du haïku
Observation
Le haïku est un poème japonais, datant du Xe siècle, dont la caractéristique est d’être très court : dix-sept syllabes. Il ne comporte que trois vers, le premier et le dernier de cinq syllabes, le deuxième de sept. Le dernier vers crée généralement un effet de surprise.
[…]
Exercices
[…]
2. Écrivez un haïku de trois vers (5/7/5 syllabes). Respectez les règles, en vous inspirant de la nature et en évitant le « je ».
Calligrammes
Observation
[…]
Exercices
[…]
Synthèse
Petit lexique pour la poésie
[…]
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Évaluation
À la fin de ce chapitre, je sais :
Lecture
• Lire un poème de façon expressive en respectant la métrique et le rythme
Vocabulaire
• Utiliser avec précision le vocabulaire des sentiments
• Connaître le vocabulaire spécifique de la poésie
Analyse
• Apprécier et analyser une chanson
• Approfondir l’étude du vers, de la strophe, du rythme poétique
• Reconnaître une forme fixe : le sonnet
• Comparer plusieurs poèmes
Expression
• Jouer avec les phrases, les sons, les rimes, les techniques
• Exprimer ma sensibilité, mes émotions, de façon personnelle
• Repérer et utiliser certaines images poétiques : comparaisons, métaphores, métonymies
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À lire
Des livres
Les classiques
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Les auteurs
[…]
Les thématiques
[…]
Les fantaisistes
[…]
Pour écrire en s’amusant
[…]
Des sites internet
[…]
Dossier publié dans Textes et activités de français 4e, Édition NATHAN
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